Vue d' artiste: Le bateau coule
Là nous râlons et appelons au secours.
Année 1995-1999 :
Bien sur tout ne s'est pas fait sans que nous nous fassions entendre. Mais comment voulez vous discuter avec un chef de centre, qui vous dit la larme à l'œil que ce n'est pas de sa faute, qu'il n'a pas d'autre solution, qu'il est bien obligé d'obéir aux ordres et, qui en profite pour vous faucher encore une bricole avant que vous sortiez de son bureau. Quand nous portons le pet plus haut; Mais malheureux c'est pour votre bien, vous en avez de la chance un chef que vous ne voyez que deux fois l'an!!!
Le 5 Novembre 1999, suite à a "nouvelle entourloupe (involontaire) de notre (joyeux) chef" "250 francs d'indemnité en moins au mois d'août" multipliez par 25 techniciens, une paille! Je suis nommé scribe de service par mes collègues pour rédiger la requête, histoire de récupérer notre du.
Après une bonne demi journée, à cogiter et deux refus, pour je cite : "mauvaise formulation des entités". Pas facile, quand: le 30 juin 1999, nous sommes passé sous le contrôle d'une direction Départementale à direction Nationale, que les indemnités n'ont été versé par la nouvelle entité, qu'avec un mois de décalage et que vous devez parait-il vous adresser à l'ancienne direction. Ça pue l’arnaque, en désespoir de cause, je me dirige vers le bureau de la secrétaire bien décidé, à lui gâcher sa sieste.